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Dernières actualités avec #HBO Max

Fin de « And Just Like That » : comment se termine la saga « Sex and the City » après 27 ans d'existence ?
Fin de « And Just Like That » : comment se termine la saga « Sex and the City » après 27 ans d'existence ?

Le Parisien

time4 days ago

  • Entertainment
  • Le Parisien

Fin de « And Just Like That » : comment se termine la saga « Sex and the City » après 27 ans d'existence ?

Une déclaration tant attendue et un baiser enflammé sur le pont des Arts à Paris. Cette scène inoubliable entre Carrie et son grand amour Big était le point d'orgue de l'ultime épisode de « Sex and The City », diffusé outre-Atlantique le 22 février 2004. Au bout de six saisons, cette série culte démarrée en 1998, s'achevait ensuite par les retrouvailles à New York des quatre héroïnes : Carrie, Miranda, Charlotte et Samantha, incarnées par et Kim Cattrall. Deux films et trois saisons de « And Just Like That » plus tard, leur nouvel épilogue, disponible sur HBO Max depuis ce vendredi 15 août, n'a pas le même éclat.

« Je l'ai regardée avec mes filles » : pourquoi « Sex and the City » parle à toutes les générations
« Je l'ai regardée avec mes filles » : pourquoi « Sex and the City » parle à toutes les générations

Le Parisien

time4 days ago

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« Je l'ai regardée avec mes filles » : pourquoi « Sex and the City » parle à toutes les générations

Quelques cosmopolitans bien frais, des potins et, au milieu des volutes de fumée des cigarettes, un groupe de copines. Sommes-nous dans un resto branché de Manhattan en 1998 ou à une terrasse de café à Paris en 2025 ? L'image semble éternelle, et c'est là tout le génie de la série cultissime « Sex and the City ». Si le dernier épisode de « And Just Like That… », la suite de la saga en trois saisons, sort ce vendredi sur HBO Max en France, tout laisse à penser que les aventures amoureuses des quatre New-Yorkaises continueront de captiver des générations entières.

Blood of My Blood : la série qui raconte la jeunesse des parents des héros d'Outlander
Blood of My Blood : la série qui raconte la jeunesse des parents des héros d'Outlander

Le Figaro

time09-08-2025

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  • Le Figaro

Blood of My Blood : la série qui raconte la jeunesse des parents des héros d'Outlander

VIDÉO - Cette série prologue, à découvrir sur HBO Max, revient sur le destin tumultueux des parents de Claire et Jamie. TV Magazine a rencontré ses jeunes stars. Depuis une décennie et sept saisons (disponibles sur Netflix), Outlander, tirée des romans de Diana Gabaldon, évoque les tourments du XVIIIe siècle (révoltes écossaises et guerre d'indépendance américaine). Elle les associe à la romance passionnée qui unit, à travers l'espace et les époques, le Highlander Jamie Fraser et son épouse Claire, infirmière de la Seconde Guerre mondiale voyageant dans le temps. Poussés par une communauté de fans fervente, les showrunners d'Outlander ont échafaudé une série dérivée prologue. Démarrant ce samedi sur HBO Max, Blood Of My Blood remonte une génération et raconte le destin mouvementé des parents de Jamie et de Claire. Deux couples soudés, là aussi, par un amour indéfectible. Dans l'Écosse de 1714, Ellen MacKenzie rejoue Roméo et Juliette de Shakespeare et s'éprend de Brian Fraser, fils du clan rival. En 1917, le sergent Henry Beauchamp (Jeremy Irvine, Cheval de guerre) noue une correspondance avec la jeune Julia. Ces missives, qui décrivent l'enfer des tranchées et les dégâts du stress post-traumatique, bouleversent la Londonienne travaillant au service de censure du courrier. À lire aussi Retour en Écosse, séparation, fin de la série... Sam Heughan et Caitriona Balfe racontent l'épopée Outlander Publicité Voyages dans le temps à foison Les têtes d'affiche de Blood Of My Blood n'ont rien à envier au charisme et au glamour de leurs prédécesseurs. TV Magazine a pu échanger avec trois d'entre eux dans le cadre de brèves interviews vidéo. Une de leurs priorités a été d'éviter l'écueil de l'imitation. «J'ai gardé quelques maniérismes de Caitriona Balfe -Claire, dans Outlander- pour assurer une continuité mais après je me suis plongée dans les scénarios pour déceler la vie intérieure et les valeurs», confie Hermione Corfield, qui joue la suffragette orpheline. Lui faisant écho Jamie Roy, qui campe Brian, confie «avoir fait fonctionner son imagination plutôt que regarder la performance de Sam Heughan (l'interprète de Jamie ndlr)». «L'imaginaire, c'est important quand on s'attaque à une série de fantasy en costumes. Aucun d'entre nous n'a grandi et connu le 18e siècle !». Aussi sensuel que sa série mère, Blood of My Blood partage «le même ADN dans sa réflexion sur l'amour, le manque, la séparation, ce qu'on est prêt à risquer pour ceux qu'on aime ou pour ce que l'on convoite. Le pouvoir est aussi une préoccupation majeure des frères d'Ellen», prévient son interprète Harriet Slater. Tout comme Outlander, Blood of My Blood retrace, avec minutie, le contexte des rébellions jacobites, tout en se délectant des luttes intestines entre seigneurs écossais comme du complexe code d'honneur qui les régit. Parmi les protagonistes de Blood Of My Blood, des visages familiers se rappelleront aux bons souvenirs des fans d'Outlander. Gouvernés par leurs pulsions et leur jeunesse, ils ne prennent pas les décisions les mieux avisées. Rapidement, Blood Of My Blood fusionne les chronologies. Henry et Julia, comme leur fille, sont propulsés deux siècles en arrière, en position d'influencer l'idylle entre Ellen et Brian et de changer le cours de l'histoire. Mais séparés lors de leur téléportation, ils ne sont pas logés à la même enseigne. Le premier devient le conseiller d'un clan, la seconde est domestique dans une maison où le droit de cuissage est de rigueur. De quoi compliquer les retrouvailles.

« L'Institut » sur HBO Max : pourquoi cette nouvelle adaptation de Stephen King mérite le détour
« L'Institut » sur HBO Max : pourquoi cette nouvelle adaptation de Stephen King mérite le détour

Le Parisien

time21-07-2025

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  • Le Parisien

« L'Institut » sur HBO Max : pourquoi cette nouvelle adaptation de Stephen King mérite le détour

Luke, un adolescent surdoué, est enlevé en pleine nuit à son domicile par des inconnus. Il se retrouve à l'Institut, un établissement ultrasecret, en compagnie d'autres jeunes. Tous, y compris lui qui ne s'en était pas vraiment aperçu, possèdent des pouvoirs paranormaux : télékinésie — pouvoir faire bouger des objets par la pensée —, ou télépathie. Ils servent de cobayes à des scientifiques peu scrupuleux, voire carrément sadiques, qui leur affirment qu'ils vont contribuer à sauver le monde. Non loin de là, dans une petite ville voisine, Tim, un policier qui a démissionné après un incident grave, est embauché comme gardien de nuit par le commissariat local… Obsédé depuis ses débuts par l'enfance, ses affres, les difficultés du passage à l'âge adulte, la perte de l'innocence, Stephen King mêlait une nouvelle fois toutes ces thématiques dans sa livraison romanesque de 2019, « L'Institut » (édité en France l'année suivante chez Albin Michel). C'est cet ouvrage qui est ici assez fidèlement adapté en mini-série de six épisodes, dont les deux premiers sont disponibles depuis quelques jours sur la plate-forme HBO Max . Luke, dans la série un peu plus âgé et mûr que sur le papier, est donc bien un héros dans la lignée « kingienne », de ceux qui ne peuvent que compter sur eux-mêmes pour faire face aux monstres, fantastiques ou bien humains, que ce soit dans « Ça », « Shining » ou « Charlie ». D'une intelligence supérieure à la moyenne, il écoute, analyse, échafaude des plans afin de quitter le plus rapidement sa prison, n'ayant aucune confiance dans les adultes qui l'entourent. Tous ses aînés ne sont pourtant pas irrémédiablement corrompus par le fardeau de l'existence, comme le montre le joli portrait de Tim, lui aussi quelque part surdoué, qui s'est cassé les dents sur la réalité et s'est mis depuis un peu en retrait du monde moderne. Un joli perdant, comme King en dépeint souvent, et qui jouera, on s'en doute, un rôle crucial dans la destinée de Luke. Bref, aucun risque pour les aficionados de King de s'ennuyer à la vision de cette adaptation. Mais tous ceux qui ont apprécié une fiction comme, au hasard, « Stranger Things » (tiens tiens, une histoire d'enfants kidnappés à cause de leurs superpouvoirs et utilisés par une sombre officine gouvernementale…), peuvent également se brancher sur cet Institut, qui pousse parfois la noirceur bien loin, avec ces images évoquant à dessein les camps de concentration nazis, telles ces cheminées qui crachent une inquiétante fumée noire.

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